Mouretsu Hateshinai

Hors RP:

Prénom: Yury
Âge: !7 ans
Passions: Moyen Âge, Histoire, Mangas
Autres: Habitant du Québec (Trois-Rivières)

In RPG:

Nom et Prénom: Mouretsu Hateshinai (Ardent Éternel)
Village désiré: Suna
Affinité désirée: Katon
Spécialisation: Ninjutsu

Description physique et mentale:

Physique: D'une taille moyenne, aucun signe particulier ne distingue Mouretsu de n'importe quel autre homme. Sans être musclé comme quelqu'un qui s'entraîne régulièrement, il possède une bonne forme physique. Il possède quelques fines cicatrices sur son thorax, mais elles semblent toutes anciennes et guéries depuis longtemps. Ses cheveux sont d'une longueur moyenne, sans toutefois dépasser ses épaules, et sont laissés libres au vent. Lorsque l'on fixe ses yeux, on peut deviner la présence de petites flammes dansant au gré de ses humeurs. Il semble toujours détendu, et ne laisse jamais ses émotions prendre le dessus sur le contrôle qu'il exerce sur son corps. Il porte une tunique simple portant à quelques endroits la marque qu'il s'est inventé.

Mentale: Comme son apparence le laisse sous-entendre, moralement comme mentalement, il est solide comme du roc. il a appris à méditer rapidement et facilement, ce qui lui permet de garder son calme dans presque toutes les situations. Il renferme une intelligence qui ferait frémir plusieurs et il se garde toujours le temps de réfléchir avant d'agir. Il tente de son mieux à comprendre les motifs et les futures réactions des gens avec qui il interagit, car son péché mignon est la curiosité, et quoi de mieux que d'apprendre la manière de penser des gens. Il possède une mémoire dans la moyenne, mais il ne peut s'empêcher de prendre des notes sur tout ce qu'il à fait et vu durant sa journée, notes qu'il consigne dans un cahier qu'il consulte si ses souvenirs lui font défaut

Histoire:

L’histoire de Mouretsu commence véritablement lors d’une nuit calme et paisible de son petit village natal, dans lequel il aidait ses parents à cultiver le riz comme tous autres habitants. Il avait peur, caché par les débris qui composait autrefois un pan du mur de sa chambre et une bonne partie du mobilier qui s’y trouvait. Il ne comprenait rien à ce qu’il arrivait, et du haut des ses huit ans, il n’avait jamais vu rien de tel. Par l’ouverture pratiquée dans le mur, il percevait encore les faibles cliquetis causés par les armes des attaquants. Il passa la nuit à se poser plein de questions et voulut aller voir ce que faisaient ses parents, mais la moitié de son corps était recouvert de morceaux de pierre et de bois. Alors qu’il se débattait pour sortir, son bras gauche se brisa et il sombra dans l’inconscience.

Quand il se réveilla, il se trouvait dans une clairière, abrié par une couverture et le bras pansé. Une douce odeur flottait dans l’air, une odeur qu’il n’avait jamais sentie avant. On devinait par la lueur du soleil et la couleur du ciel que la journée était dans son déclin. Un vieillard s’affairait à préparer à manger sur un feu réduit à l’état de braises. Alors que l‘enfant se leva, il se retourna prestement et lui tendit un bol d’une étrange mixture accompagné d’un généreux sourire. Lui faisant signe de manger, l’homme se rapprocha du feu et commença à fixer le feu dans une étrange position. Quand le petit eut fini de manger, car il avait été élevé dans la mentalité de ne jamais refuser un présent venu d’un aîné, il commença à bombarder l’inconnu de questions, mais celui-ci répondait par les mêmes signes : un doigt sur la poitrine, puis un doit sur ses lèvres. Le petit garçon, croyant que c’était un jeu, essayait de faire dire à son accompagnateur ce que ces signes voulaient dire. Au moment où les seules lumières furent les braises et la lueur de la lune, le jeune demanda au vieux si il pouvait le ramener chez lui. Le regard de tristesse de son nouvel ami l’informa qu’il ne reverrait jamais son chez lui…

Les jours se sont succédés, et à travers eux, le gamin apprenait des gestes répétitifs que faisait le vieillard. Il vivait dans le plus profond mutisme, car il avait appris à comprendre celui qu’il prenait pour mentor sans que celui-ci n’ait à prononcer un mot, et tout ceci le contraignait à une certaine discipline. Finalement, après deux ans à déambuler à travers les différents pays du monde, ils arrivèrent au village caché du sable. Les immenses murs qui protègent la cité impressionnèrent beaucoup le gamin, qui se demandait si cette construction avait réellement été construites par un être humain. En passant dans l’étroit couloir qui menait au village, tous ses espoirs concernant une vie plus facile et peut être qu’il pourrait trouver un sens à sa vie.

Cette journée fut un jour particulier, car, en plus d’être l’anniversaire de Mouretsu, il fut inscrit à l’académie de son village. À son premier jour, Mouretsu fut délaissé par les autres car il ne faisait pas parti du cercle de jeunes aspirants ninja qui avaient grandi ensemble, mais aussi ses habitudes de vie silencieuse faisait de lui un rejeté parmi ses pairs. Il apprenait vite, surtout car les mouvements utiles qu’il faisait depuis deux ans étaient presque la copie conforme de ce que l’on voulait lui apprendre. Il emmagasinait les connaissances comme de l’eau dans un trou, et dès lors il devint un modèle pour les autres élèves de sa génération.

(À suivre...)

Bienvenu ardent sur ns.... En Tant que Kazekage tu auras à faire à moi, j'espère que tu es prêt ? ^^

Je viens de finir d’écrire un chapitre de ma vie, un chapitre que j’aurais préféré éviter. Je n’aime pas parler de mon passé, et encore moins l’écrire, mais j’ai commencé à écrire ma biographie, et je ne m’abstiendrai pas de mentionner mon passé. J’ai commencé ce projet depuis qu’un professeur, le meilleur de l’académie de Suna d’après moi, m’a proposé ce projet. Lui même l’avait commencé à l’académie et depuis, cet ouvrage composait un mur entier de sa maison. Tout au long de mon apprentissage à l’académie, je me suis rendu compte d’une chose, soit les gens vous prennent pour un génie parce que vous apprenez plus vites qu’eux, soit ils vous en tiennent rancune et ils tentent, souvent sans succès, de devenir plus fort que vous.

Le premier choc que j’ai reçu, c’était lorsque je passai mon examen pour devenir Genin. Il y a plusieurs années, avant que le cinquième Kazekage soit assassiné, l’examen comptait une épreuve supplémentaire. Pour s’assurer que tous les ninja soit capable de se défendre, on le plaçait dans un combat à mort contre l’un des élèves de sa classe. Je n’ai pas eu de chance...

En arrivant dans l’arène, j’avais un mauvais pressentiment. Je ne connaissais rien de mon adversaire, une fille discrète avec qui je n’avais jamais échangé de paroles. La seule chose que je savais d’elle, c’était qu’elle était très douée avec les projectiles. Dès que le signal du combat avait été lancé, j’ai du commencer à multiplier les parades car une pluie de kunais et de shurikens tombait sur moi. Une fois à bonne distance, je tentai de faire les signes appropriés pour que je puisse utiliser un Jutsu pour contre-attaquer, mais elle était trop rapide pour moi. Un shuriken se planta sur mon thorax, et je sentis le choc faire fendiller une de mes cotes. En observant le second shuriken qui m’effleura de peu, je remarquai qu’il était chargé de chakra d’une couleur bleue. Je me battais contre une utilisatrice de l’élément fuuton, un nouveau défi pour moi. Je savais que ce type de chakra était plutôt rare, mais je n’avais pas le choix, c’était elle ou moi.

J’amorçai ma riposte. Partout ou je me déplaçait, je mettait des notes explosives à l’envers sur le sol, de manière à ce qu’elle ne puisse les identifier, et puisqu’elle semblait assez concentrée à essayer de me toucher, elle ne penserait pas à les détruire. Une fois que le sol fut rempli de notes explosives de manière à ce qu’il ne reste qu’un endroit ou l’explosion n’aurait pas lieu, je me redressa en lui souriant, ce qui l’interrompit dans son élan. Tout en gardant notre contact visuel, j’écartai les bras en lui disant :

‘’Tu est la plus forte, mais il me reste une chose à te dire…’’

‘’Adieu’’

La déflagration détruisit une bonne partie de l’arène, et l’onde de choc et la chaleur de l’explosion me donna un billet simple pour l’hôpital, mais j’avais gagné, j’étais devenu Genin.

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Mes missions concernaient surtout des missions de patrouille, car je faisais partie d’une équipe assez performante. Mais seulement deux mois après que je sois devenu Genin, mon senseï décida que notre équipe était assez murs pour que l’on passe le test pour devenir Chunnin. J’avais entre temps développé plusieurs techniques de feu, notamment une technique inventée par les Uchiha de Konoha, le fameux Goukakyuu no Jutsu. Cependant, il me manquait un sceau pour pouvoir performer efficacement cette technique, le dernier.

Le test des Chunnin fut assez facile, du moins jusqu’aux combats. Puisque le tournoi ce déroulait au pays de la foudre, l’appui de la population locale se faisait surtout contre nous. De plus, pour ajouter à mon malaise, mes deux coéquipiers se sont fait tué juste avant que cela soit mon tour de me battre, un par un Jutsu de foudre surprenant, l’autre par un enchaînement de taijutsu imparable. Je tremblais donc alors que j’entrai dans l’arène. Pour rajouter à mon drame, mon adversaire était un Uchiha.

Le combat commença par une petite démonstration des pouvoirs du Sharingan. C’est étonnant comment cette technique vous perturbe lorsque vous devez imiter les techniques que vous avez durement pratiquées pendant des longues nuits… J’ai réussi à éviter mes propres attaques jusqu’au point ou nous fumes tous tes deux réduis au minimum de Chakra. En fermant son Dôjutsu, il commença des symboles que je connaissais! Il tentait de performer le Goukakyuu no Jutsu que j’avais tant de difficulté à maîtriser! Je resta attentif à ses mouvement, tout en faisant moi-même les signes nécessaires.

Le porc, le cheval… Il me manquait le Tigre!

J’affrontai sa boule de feu de plein fouet, tandis que je rassemblais tout le chakra qu’il me restait dans ma bouche pour lancer la mienne. Et c’est à ce moment que je perdis conscience.

Quand je me réveillai, j’étais dans une chambre chaude de Suna et mon senseï me félicita, tout en m’aidant à me lever. Il me plaça ensuite l’armure caractéristique des Chunnin sur le dos. Je devins chef d’escouade d’une équipe de patrouilleurs, et je m’assurai de la sécurité du village de cette manière pendant plusieurs années.

(Extraits du livre de la vie de Mouretsu Hateshinai)

C'est bon ou je dois faire mieux pour être Chunnin? Ou je dois continuer car je vaux plus que cela finalement??

Très bien, trop bien, tu croyais peut etre que j'allais te mettre simple chunnin, tu rigole, tu sera promu junnin directement dans le village de Suna.
Ton histoire est superbe, il ne manque rien, aucun détail n'est oublié, j'en perd mes mots.

JE TE DIT SIMPLEMENT UN GRAND BRAVO ET GAARA AURA DU BOULOT A FAIRE AVEC TOI? LE PAUVRE ^^

Enfin bon jeu a toi et prend plaisir comme lorsque tu as fait ce rp